Université, composantes et services
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UFR LSHA : pas seulement des langues

Thierry Grass remplace Nathalie Hillenweck à la tête de l’UFR Langues et sciences humaines appliquées (LSHA) depuis septembre 2013. Pour L’Actu, il revient sur les spécificités de sa composante. 

Comment se porte votre composante ?
Elle se porte plutôt bien avec ses quelques 1 300 étudiants. Nous avons subi une petite restructuration puisque le département d’études territoriales et la licence assurance-banque-finance ont quitté l’UFR. Le premier est dorénavant rattaché à l’Institut d’études politiques et la deuxième a rejoint la Faculté de droit. Nous nous sommes donc recentrés sur notre corps de métier soit l’enseignement des langues dans une optique professionnelle.

La professionnalisation est votre leitmotiv. Comment se concrétise-t-elle ?
Les stages sont bien sûr obligatoires à tous les niveaux. En licence, nous proposons un parcours de professionnalisation dans lequel on aide les étudiants à réfléchir à leur projet. Et depuis peu, dans ce cadre, nous organisons des interventions bimensuelles de professionnels. Ils viennent à la rencontre des étudiants pour leur faire découvrir de nombreux métiers. Cette idée est née d’un constat : les primo-entrants ont une idée confuse des débouchés offerts par les langues.
Le niveau master n’est pas en reste. Un de nos masters (Caweb) propose un parcours en apprentissage. Nous projetons de faire de même pour les masters Coopération Union européenne pays en développement et Intelligence économique dispensés à l’Institut de traducteurs, d’interprètes et de relations internationales (Itiri). 

N’a-t-elle pas un effet pervers en fin de L3 ?
La licence Langues étrangères appliquées (LEA) permet de s’intégrer dans de nombreux univers professionnels, nos étudiants n’ont donc pas forcément vocation à poursuivre leurs études à Strasbourg. Mais si nous perdons des étudiants à la fin de la licence, nous en attirons d’autres, venus de partout dans le monde pour suivre nos masters. Nous sommes notamment la seule UFR de langues en France à avoir un département d’informatique, ce qui nous permet d’allier de façon crédible traduction et nouvelles technologies. Le master Caweb, qui forme à la conception de sites web multilingues, rencontre d’ailleurs un vif succès. L’Itiri, rattaché à l’UFR, propose la seule formation d’interprète de conférence en France, en dehors de Paris, ainsi qu’une formation originale d’animateur de clusters. Nous pensons aussi créer un diplôme d’université en rédaction technique. Si de prime abord, ce n’est pas très séduisant, cela répond à une véritable demande des industriels. 

L’UFR LSHA a toujours entretenu de forts liens avec les autres composantes. Qu’en est-il ?
Nous proposons diverses formations en partenariat avec d’autres facultés, notamment le master de traduction littéraire avec les langues et cultures étrangères (LLCE) et les lettres. Nous participons également, avec la Faculté des sciences historiques, à la mise en place d’un diplôme de guide-interprète orienté vers le tourisme, porté par la Faculté des lettres.
Les autres composantes ont besoin de compétences en langues, c’est notre expertise. Une faculté, surtout de langues, ne peut pas se permettre d’être cloisonnée. Mais nous ne sommes pas des prestataires de service, nous apportons de réelles compétences. 

La mise en place d’un pôle Langues est-elle toujours d’actualité ?
Des négociations sont toujours en cours pour le pôle Langues mais ce qui est sûr c’est qu’il y aura toujours une différence entre l’enseignement des langues pour le monde professionnel et celui pour l’enseignement. Les centres d’intérêt et les stratégies sont différents. Ce pôle peut réellement être une bonne chose si l’équilibre est préservé entre les composantes. On ne peut pas penser que les formations en LLCE priment surtout qu’en LEA, nous attirons de plus en plus d’étudiants. Ce pôle demande un mélange culturel pour la création d’une identité commune, là est toute la difficulté. 

Propos recueillis par Floriane Andrey

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Un expert de l’université au service du parc central

Pierre-Paul Gérard est responsable du département espaces extérieurs à la Direction du patrimoine immobilier et expert en voirie et réseaux divers. À la veille de son départ à la retraite, au mois d’avril, L’Actu revient sur son rôle dans le cadre du projet de création du parc central. 

« Le campus vert ne s’est pas construit en un jour ! », Pierre-Paul Gérard l’affirme haut et fort. Et il en sait quelque chose puisqu’il travaille sur ce projet depuis dix ans. Il est arrivé au Pôle universitaire européen de Strasbourg en 2004. « À l’époque, chacune des trois universités avait sa direction du patrimoine immobilier mais personne ne s’occupait de l’aménagement extérieur », explique-t-il. En tant que directeur du service des campus universitaires de Strasbourg, il a fait la liaison entre les trois établissements, l’Insa, le Crous, le CNRS, les trois grandes collectivités et le rectorat. À la tête d’une équipe de 12 personnes, il a géré les grands projets mais aussi l’entretien, la propreté, l’éclairage, l’assainissement, les espaces verts, etc. sur l’ensemble du domaine de 60 ha de l’université. Très vite, après sa prise de fonction, il a piloté entre autres, la fin du projet de la signalétique, le schéma directeur d’aménagement lumière mais également le schéma directeur d'aménagement du campus universitaire de l'Esplanade. « Parmi les scénarios présentés, celui qui a été retenu s’intitulait "Campus, poumon vert", comme quoi nous n’étions pas si loin de l’actuel "campus vert et ouvert" », s’amuse Pierre-Paul Gérard. 

Quelques réunions riches en événements

Une première tranche d’étude et de travaux a été réalisée dans le cadre du contrat de plan 2003-2007 notamment l’aménagement de la rue Gaspard-Monge, les parkings de l’Insa et de la bibliothèque U2-U3, l’assainissement et la voirie de l’allée du Général-Rouvillois. Il s’en est suivi une autre phase réalisée dans le cadre du contrat de plan 2007-2013. Ces travaux consistaient à reporter le stationnement arboré en périphérie en créant un nouveau sens de circulation des véhicules sur le campus Esplanade.
Pierre-Paul Gérard, devenu responsable du département espaces extérieurs à la Direction du patrimoine immobilier lors de la fusion des universités, a également fait la conduite d'opération pour la deuxième tranche.
Avant d’en arriver à la phase de réalisation du parc, « il y a eu quelques réunions épiques, notamment lorsqu’il a fallu expliquer le choix d’un mode de déplacement doux. Certaines personnes ne comprenaient pas les coûts d’investissement dans les sous-sols et les réseaux qui ne sont pas visibles, alors que c’est essentiel pour le fonctionnement et la sécurité des bâtiments. Le choix des luminaires et du mobilier urbain aura également fait couler beaucoup d’encre ! Mais cela fait partie de toute opération de grande envergure. Il s’agit tout de même du plus grand projet d’aménagement d’espaces verts de Strasbourg. »

Trait d’union entre les différents acteurs

« Pour le parc central, un vrai travail en concertation a été réalisé : ce que j’en retiens, c’est tout le bénéfice qu’on peut tirer du partenariat privilégié entre les différents acteurs, que ce soit au sein de l’université ou avec les collectivités, les étudiants, les prestataires ou les entreprises. La réussite d’une opération en dépend. »
Pour tous les projets qu’il a gérés, Pierre-Paul Gérard a apporté son expertise particulière, du métier de voirie et de réseaux divers, d’ingénierie acquise au sein d’entreprises nationales de travaux publics avant son arrivée à l’Université de Strasbourg. Il fut le référent en la matière auprès de tous les services. « Ce fut une très belle expérience de pilotage de grands projets d’aménagement urbain. J’aurais souhaité finaliser ce projet ainsi que les nombreuses idées bouillonnantes, encore dans mon esprit pour les autres campus ! Mais pour avoir contribué à créer un nouveau grand parc de 10 ha à Strasbourg, je suis content de laisser un nouvel écrin  de verdure, pour l’excellence de l’Unistra. C’est un enjeu environnemental et social, le plus favorable possible, à l’épanouissement de toutes les générations d’étudiants à venir », conclut-il.

Floriane Andrey

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Parc central : le chantier avance

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Les Journées alumni font leur bilan

Du 22 au 24 novembre 2013 se déroulaient les premières Journées alumni de l’Université de Strasbourg : 70 événements proposés sur trois jours, 80 intervenants, et au final 340 participants. Bilan d’une première édition qui a permis au réseau de progresser de 900 membres…

En novembre 2013, le réseau Alumni de l’Université de Strasbourg (diplômés, doctorants et personnels de l’établissement) a gagné 500 nouveaux membres, puis 400 depuis les Journées alumni. Une conséquence directe du premier temps fort organisé par le Service relations alumni (SRA) depuis la création du réseau, en collaboration avec les composantes, plusieurs services et différentes associations d’anciens de l’Unistra et de l’opération parrainage lancée à cette occasion.
Au final, la manifestation a accueilli 340 participants (195 inscrits – 145 invités), un millier environ en comptant les étudiants. À noter : un programme riche et divers, des conférences intéressantes dont certaines n’ont pas eu le public attendu, des prestations de qualité, une différence parfois trop importante entre les inscrits et les présents, l’enthousiasme de ceux qui ont participé, un partenariat réussi avec la Communauté urbaine de Strasbourg (CUS), des rencontres privilégiées entre alumni, l’implication de membres la communauté (référents alumni par exemple), une équipe organisatrice très sollicitée. Et fait à souligner, la présence de six anciens présidents des universités strasbourgeoises… « Ce qui est remarquable, c’est que tous les intervenants sollicités ont répondu présents avec simplicité et intérêt que ce soit à l’université ou à la CUS. C’est encourageant pour la suite », nous a confié Agnès Villanueva.

La suite en 2015

La seconde édition des journées est prévue l’an prochain. L’idée est de partir sur un programme resserré construit autour de conférences données par les personnalités de renom et des événements proposés par les composantes. La manifestation pourrait se dérouler au moment de la Journée portes ouvertes de l’université, afin de profiter de la mobilisation, déjà en place dans les UFR, facultés, écoles et instituts ainsi que dans les services contributeurs (Direction des usages numériques, Service communication, Direction des affaires logistiques intérieures, etc.).

  • Bilan complet des premières Journées alumni disponible sur demande auprès de Françoise Gast.

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Quand l’Université d’Osaka s’intéresse au dispositif handicap de l’Université de Strasbourg

La Mission Handicap du Service de la vie universitaire a reçu une délégation de l’Université d’Osaka le 20 février dernier pour découvrir le dispositif handicap mis en œuvre à l’Université de Strasbourg.

Après la visite de deux universités parisiennes, c’est à Strasbourg qu'une personne intégrée à la vie universitaire et au soutien des étudiants et deux bibliothécaires de l'Université d'Osaka ont choisi de terminer leur séjour français après avoir recueilli un maximum d'informations pour mieux comprendre l’inclusion des étudiants handicapés dans le système universitaire français et s’inspirer des bonnes pratiques afin d’améliorer le service apporté aux étudiants handicapés japonais.
Après une présentation de la Mission Handicap, de la démarche d’évaluation individualisée autour des besoins spécifiques de l’étudiant, du travail en équipe plurielle, en collaboration avec les référents handicap, de la combinaison d’aides techniques et humaines proposées aux étudiants, les visiteurs ont pu découvrir le Centre de culture numérique. Et puis, les échanges ont été enrichis du témoignage d’un assistant d’études venu parler de l’accompagnement effectué auprès d’un étudiant souffrant de troubles psychiques et de la démonstration de l’utilisation de la synthèse vocale par une étudiante déficiente visuelle.
Depuis la loi de 1970 qui prévoit que les infrastructures publiques doivent être adaptées aux personnes à mobilité réduite, le Japon intègre de mieux en mieux les personnes handicapées, notamment dans l’aménagement de l’espace urbain. L’Université d’Osaka compte 16 000 étudiants et accompagne 30 étudiants en situation de handicap. Au départ intéressée par les aides techniques proposées aux étudiants à besoins spécifiques, la délégation japonaise a très vite compris l’intérêt de construire un véritable dispositif intégrant la personne, son projet, sa future insertion professionnelle et la dissémination du dispositif en interne pour que le handicap soit l’affaire de tous.

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L’inauguration de l’Espé s’invite à la performance « Experimental sound pianos embedded »

Philippe Clermont, nouvellement nommé directeur de l’École supérieure du professorat et de l'éducation (Espé), avait souhaité marquer officiellement la création de la nouvelle école qui a succédé à l’IUFM en septembre dernier. Pour ce moment inaugural fort, le choix s’est porté sur la performance artistique « Experimental Sound Pianos Embedded », organisée le 19 février dernier par Grazia Giacco-Blanc, maître de conférences à l’Espé, et sous l’égide de l’artiste Philip Corner.

Cette performance originale, qui a eu lieu dans le bâtiment de l’Espé à la Meinau, a été tout d’abord l’occasion d’un récital de pianos joué par des élèves du conservatoire. Puis l’on a vu la transformation lente et méthodique de deux très vieux pianos en objets d’arts originaux réalisés par des étudiants de la Faculté des arts.
C’est dans ce contexte postmoderne que les discours officiels d’inauguration ont pris place en fin d’après-midi. Après une introduction de Philippe Clermont qui a rappelé les enjeux de la nouvelle réforme des enseignants, Michel Deneken, premier vice-président de l’université, a retracé l’histoire récente de la nouvelle école et a souligné la qualité du travail collaboratif entre les partenaires de la formation des enseignants. Il a profité de ce moment privilégié pour remettre la médaille de l’université à Richard Kleinschmager, médiateur de l’université, qui avait accepté la mission d’administrateur provisoire afin d’assurer les débuts de l’Espé. Jean-Philippe Maurer, vice-président du conseil général du Bas-Rhin, a souligné l’importance de l’implantation de l’école supérieure dans le quartier de la Meinau. Le recteur d’académie, Jacques-Pierre Gougeon, a rappelé avec force les objectifs de la réforme voulue par Vincent Peillon. Il s’est félicité des débuts réussis de l’Espé, ainsi que des relations de confiance qui existent entre l’université, l’Espé et les services académiques.
Après ce moment officiel, les nombreux invités ont pu profiter, autour d’un buffet, des instants musicaux programmés dans le hall de l’Espé, qui se sont prolongés jusqu'au soir.

Liliane Giordano

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Chembiotech, un nouveau diplôme d’ingénieur à l’Université de Strasbourg

L’École européenne de chimie, polymères et matériaux (ECPM) et l’École supérieure de biotechnologie de Strasbourg (ESBS), écoles internes de l’Université de Strasbourg, s’associent pour créer un nouveau diplôme d’ingénieur à l’interface de la chimie et de la biotechnologie : Chembiotech. Il sera ouvert dès la rentrée 2014. 

Ce nouveau diplôme d’ingénieur de l’Université de Strasbourg de niveau bac+5 s’appuie sur le savoir-faire de l’ECPM et de l’ESBS, deux écoles reconnues dans leurs domaines respectifs : la chimie et la biotechnologie. Chembiotech répond à une demande des industriels tant en France qu’à l’étranger dans les secteurs de la santé, la cosmétique, les matériaux renouvelables et biodégradables ou de l’environnement. 
S’appuyant sur une double compétence chimie/biotechnologie, l’ingénieur Chembiotech sera capable de comprendre et donc de coordonner des partenaires chimistes, biologistes, et pharmaciens impliqués dans la mise au point d’un nouveau médicament dans l’industrie pharmaceutique. Il interviendra également dans des domaines émergents comme celui de la chimie verte, les bio-polymères et la biocatalyse.
La formation, très axée sur la pratique, sera trilingue français, anglais et allemand. Les élèves effectueront trois stages pendant leur cursus, dont un stage de fin d’étude sur tout le sixième semestre. Un stage sera obligatoirement effectué à l’étranger. La première promotion accueillera, en septembre prochain, 14 élèves.

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L’EM Strasbourg ouvre un master 2 E-marketing

L’École de management (EM ) Strasbourg proposera, à la rentrée 2014, un master 2 E-marketing et management des technologies de l’information et de la communication (TIC).

L’ouverture de ce parcours e-marketing complète le portefeuille de formations de l’école et répond à la fois à la demande des professionnels et aux évolutions des métiers du marketing. Conçu pour valider, actualiser ou développer ses connaissances en e-marketing tant d’un point de vue opérationnel que stratégique, il est accessible en formation continue et en apprentissage.

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Deux nuits sportives en perspective

Le Service des sports de l'université organise sa cinquième Nuit du hand mercredi 19 mars et la Nuit du volley jeudi 27 mars.

Pour la Nuit du hand, les phases de poules auront lieu à la halle des sports, au gymnase Louvois et au gymnase de l'école internationale mercredi 19 mars dès 18 h 30. À partir de 22 h 30, les équipes se retrouveront à la Halle des sports pour les phases de classement. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au lundi 17 mars à 12 h à l'accueil du Centre sportif universitaire (CSU). Les équipes seront constituées de sept joueurs au minimum et de dix au maximum. Dans chaque équipe doit figurer au moins une fille sur le terrain pendant toute la soirée. Chaque inscrit recevra un tee-shirt aux couleurs de la soirée et chaque équipe sera récompensée.
En avant première de la Nuit du volley jeudi 27 mars, le groupe Funkindustry jouera une partie de son répertoire à la halle des sports à partir de 17 h 30. Les inscriptions pour ce tournoi sont ouvertes à l'accueil du CSU jusqu'au mardi 25 mars à 17 h. Le nombre d'équipes est limité à 48. Une équipe doit être composée au minimum de quatre joueurs et maximum sept joueurs. Le tournoi se déroulera à la halle des Sports et au CSU.

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Nouvelles ressources acquises dans le cadre des licences nationales Istex

Brill, Royal society of chemistry, Nature et Elsevier : de nouvelles ressources en ligne grâce au projet Istex !

Le projet Istex (Initiative d'excellence de l'information scientifique et technique) a connu une avancée significative en ce début d’année 2014 grâce à la signature de quatre nouveaux accords avec les éditeurs Brill, RSC, Nature et Elsevier. Ces licences nationales concrétisent la mise en place d’une bibliothèque scientifique numérique pérenne. D’ores et déjà, près de 2 500 titres de journaux scientifiques parmi les plus prestigieux, soit environ six millions d’articles, sont rendus accessibles à l’ensemble de la communauté de l'enseignement supérieur et de la recherche, dont l’Université de Strasbourg.
Le premier contrat, signé avec Brill, offre, outre les archives des 220 revues (soit environ 135 000 articles publiés de 1853 à 2012 en sciences humaines et sociales, droit international, droits de l’homme), deux ressources spécialisées : l'encyclopédie des sciences de l'Antiquité New Pauly Online et les recueils de la prestigieuse Académie de droit international de La Haye.
La licence nationale signée avec la Royal society of chemistry (RSC) met à disposition 118 titres de revues, soit environ 219 000 articles publiés de 1841 à 2010, principalement en chimie.
L'accord conclu avec Nature Publishing Group ouvre quant à lui la totalité des archives, depuis 1869 jusqu'à 2012 inclus, de la prestigieuse revue Nature, ainsi que les archives de sept autres titres spécialisés en immunologie, biologie, chimie, neurosciences, soit environ 400 000 articles au total.
Le contrat passé avec Elsevier inclut près de 2 250 titres publié des origines (1823) jusqu'en 2001, soit environ 5,7 millions d'articles scientifiques de cet éditeur majeur dans le paysage de l’édition scientifique mondiale, dans toutes les disciplines.
Ces ressources s’ajoutent donc aux ressources déjà acquises par l’Université de Strasbourg. L’ensemble des contenus sont accessibles depuis le portail documentaire.

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Le concept des conférences InfoCom'Live de l'IUT Robert-Schuman : c'est bien parti !

L'IUT Robert-Schuman a organisé lundi 10 mars sa deuxième conférence InfoCom’Live. Ce concept de conférences créé par Brigitte Simon, maîtresse de conférences associée et responsable des relations avec les entreprises au Département information-communication, s’adresse aux partenaires socio-économiques et aux étudiants de l’institut.

À cette occasion, trois acteurs majeurs du monde économique et du sport régional son intervenus notamment Marc Keller, président du Racing club Strasbourg, Bernard Gsell, directeur général d’ÉS Énergies Strasbourg, et Albert Gemmrich, président de la Ligue d'Alsace de football amateur. Après une introduction par Bernard Lickel, directeur de l'IUT Robert-Schuman, ils ont partagé leur expérience en matière de partenariat sportif.
La première conférence, animée par Philippe Viallon, professeur des universités et chef du Département information-communication, portait sur les réseaux sociaux. Une troisième conférence est prévue au mois de mai.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2013-2014

03/201404/201405/2014
<strong>Conseil d'administration - CA</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;25&nbsp;15&nbsp;20
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;1&nbsp;6
<strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong>
14 h 30 - Mercredi
&nbsp;26&nbsp;/&nbsp;7
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong>
14 h 30 - Mardi
&nbsp;18&nbsp;8&nbsp;13

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Liens vers les lettres électroniques utiles